The White Crow France, Royaume-Uni 2018 – 127min.

Communiqué de presse

The White Crow

Jeune prodige du célèbre ballet du Kirov, Rudolf Noureev est à Paris en juin 1961 pour se produire sur la scène de l'Opéra. Fasciné par les folles nuits parisiennes et par la vie artistique et culturelle de la capitale, il se lie d'amitié avec Clara Saint, jeune femme introduite dans les milieux huppés. Mais les hommes du KGB chargés de le surveiller ne voient pas d'un bon oeil ses fréquentations « occidentales » et le rappellent à l'ordre.

Confronté à un terrible dilemme, Noureev devra faire un choix irrévocable, qui va bouleverser sa vie à jamais. Mais qui va le faire entrer dans l'Histoire.

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Commentaires

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Eric2017

il y a 4 ans

Tout simplement magnifique ! Les nombreux flashbacks sont bien placés et permettent de mieux s'immiscer dans la vie de ce très grand danseur. D'un caractère je dirai presque insupportable, ce personnage reste néanmoins attachant. L'acteur principal, Oleg Ivenko, lui-même danseur, fait une excellente interprétation de Noureev. Enfin, Ralph Fiennes a fait de cette histoire un magnifique film. A voir que l'on aime ou pas la danse classique. (G-30.06.19)Voir plus


vincenzobino

il y a 4 ans

2.5: Sa raison d’être
1961: le ballet de Leningrad est à Paris pour une semaine de représentation avec son danseur étoile, Rudolph Noureeiev. Seulement ce dernier désireux de liberté ne compte pas forcément revenir dans sa mère patrie soviétique et la rencontre avec la descendante d’un homme politique français pourrait forcer son destin.
Le voici donc ce biopic sur l’un des plus fabuleux danseurs jamais connus et son départ de l’URSS. Un défi ambitieux pour Ralph Fiennes mais pas vraiment relevé.
L’ouverture du film nous mentionne le pourquoi du titre original : un besoin de liberté dans un univers ne le permettant pas. Et des libertés, il y en a, à mon sens, un peu trop.
A force de mélanger 3 périodes de vie du danseur étoile (son enfance chaotique entre sa venue au monde particulière et la dureté russe; sa rencontre avec son professeur Pouchkine... et son épouse; et la venue parisienne), on se perd un peu par différents sauts temporels dont certains n’ont guère de liens.
L’art est la meilleure partie du film, particulièrement la fascination pour la peinture et le tableau qui scellera la décision de Noureeiev. Mais la danse est à mon sens trop rare et hormis les répétitions, on ne peut hélas que peu vibrer pour les performances scéniques. Sans compter l’issue politico-administrative qui manque objectivement d’un second point de vue.
Du coup, il manque une grâce pour faire de ce film... une étoile.
A vous de voirVoir plus

Dernière modification il y a 4 ans


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