«Venom: Let There Be Carnage», «Halloween Kills», «Illusions perdues»... Les nouveaux films à voir cette semaine»

Le retour de l'anti-héro Venom, Michael Myers toujours aussi terrifiant, ou encore le Paris du XIXe siècle ; voici les nouveaux films à voir cette semaine.

1 - «Venom: Let There Be Carnage»

Tom Hardy renfile son costume d'anti-héro

Eddie Brock (Tom Hardy) et Venom, son pote symbiote, sont désormais colocataires… du même corps. Et la cohabitation relève plus d’une bourrasque en plein mois de janvier que d’une douce brise venant taquiner les cheveux un soir d’été. Alors que l’un est désespérément à la recherche de cervelles humaines à se mettre sous la dent, l’autre refuse en bloc de tuer qui que ce soit. En quête d’un nouveau challenge qui lui permettrait de remettre sa carrière journalistique sur les rails, Eddie accepte de rencontrer Cletus Kasady (Woody Harrelson), un tueur en série de la pire espèce. Mais au cours d’une des visites, le tueur mord le reporter et devient à son tour hôte d’un alien symbiote grâce au sang d’Eddie. Carnage est né et compte bien se venger de certaines personnes.

Plus d’informations sur «Venom: Let There Be Carnage».

2 - «Halloween Kills»

Le terrifiant retour du plus connu des tueurs en série.

Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) et sa progéniture pensaient avoir bel et bien mis fin à la terrible malédiction d’Halloween en enterrant le croquemitaine derrière les flammes d’un gigantesque brasier. Michael Myers aurait dû périr ce soir-là. Mais rien n’arrête plus le monstre masqué, et c’est désormais une ville entière qui se retourne contre lui. Quand le système judiciaire faillit à sa mission protectrice, le peuple prend la fourche !

Plus d’informations sur «Halloween Kills».

3 - «Illusions perdues»

Les dessous sales du Paris du XIXe siècle

Lucien Chardon, ou plutôt Lucien de Rubempré (Benjamin Voisin) rêve de gloire littéraire, de faire transpirer son talent dans le grand Paris. Dans la France du XIXe siècle, débarqué d’Angoulême des poèmes plein la tête, l’apprenti poète sera rapidement livré à lui-même, avant de découvrir le journalisme. C’est surtout un monde corrompu par l’hypocrisie et voué à ne faire que du profit que le candide Rubempré dévoilera malgré lui. La comédie humaine où tout s’achète et se vend, la presse comme l’art, pour recracher des individus détruits et noircis.

Plus d’informations sur «Illusions perdues».

La rédaction vous recommande aussi: