Empire of Light Royaume-Uni, Etats-Unis 2022 – 115min.

Communiqué de presse

Empire of Light

EMPIRE OF LIGHT de Sam Mendes, lauréat d'un Oscar® (« Skyfall », « 1917 ») se déroule dans une ville côtière anglaise au début des années 1980 et raconte une histoire captivante et touchante de la magie du cinéma.

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Commentaires

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Cyril

il y a 1 an

Quel ennui!


geradupo

il y a 1 an

Mouais… je suis fan de Sam Mendes, mais là je suis un peu déçue. C’est un film fourre-tout dans lequel il évoque beaucoup de sujets: sa passion pour la projection d’un film dans une salle obscure, le patriarcat et le racisme dans l’Angleterre de Thatcher, un amour entre une femme mûre et un beau mec de 20 ans son cadet, la vie quotidienne d’une schizophrène…on s’y perd. Restent les images léchées et magnifiques d’un cinéma et de paysages de bord de mer et l’interprétation toujours géniale d’Olivia Colman.Voir plus


vincenzobino

il y a 1 an

4.5: La fin de la culpabilité
1981: sud de l’Angleterre: Hilary responsable de l’accueil du cinéma Empire et maîtresse malgré elle du directeur Donald Ellis, tombe sous le charme de Steven le nouvel employé. Lorsqu’une importante avant-première doit s’y dérouler, la politique d’alors pourrait bien influencer les destinées sentimentales et humaines.
Le voici ce retour de Sam Mendes qui après toutes ces superproductions et œuvres fortes nous propose une rencontre intime sous fond politique hostile. Une très touchante expérience.
Sur le premier quart-d’heure, on se pose bien des questions : pourquoi Hilary agit-elle de la sorte, comment Steven sachant son parcours et le traitement d’alors envers les hommes de couleur dont il est, est-il arrivé là sans dommages?
Puis au fil du film et avec de révoltantes séquences sur la réalité politique d’alors, l’on découvre les véritables personnalités et les conséquences de ces blessures en soi, particulièrement sur Hilary qui vous rappellera par moments un célèbre patient des années 1970 confronté à une infirmière, illustration sur une séquence ornithologique splendide.
Pas d’effets visuels ou émotionnels mais une véritable déclaration d’amour à tous les cinéphiles des années 1970 et début des années 1980 avec une photographie exceptionnelle, un casting éblouissant particulièrement Olivia Colman et Toby Jones, et surtout un ultime quart-d’heure qui en dépit de sa situation va néanmoins vous offrir un sourire profond par un verdict touchant : il ne faut pas être coupable de qui et comment nous sommes. Le dernier hommage à un film culte du début de cette décennie en est la parfaite illustration: il ne sert à rien de chercher à se déguiser en monstre, il faut rester humain.
A recommander vivement...Voir plus


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