Vous n'avez pas vu ce film !
<br>
<br>Alors à quoi bon en parler ???

Un très bon Godard.
<br>
<br>L'idée de montrer la société actuelle dans un paquebot actuel avec tous les éléments ringards qu'il contient : Super-Marché, Casino, Restaurants, etc. Et le Pont depuis lequel la planète Terre est si belle en comparaison est une pure merveille.
<br>
<br>Pour les spectateurs qui ne connaissent pas encore le cinéma de JLG, ce film est une bonne porte d'entrée dans son univers qui pourra être complétée par la très intéressante interview qu'il a donné à Mediapart et que l'on peut voir sur DailyMotion en recherchant les items "Godard, Médiapart"
<br>
<br>Bonne vision
<br>
<br>RZ… Voir plus

Avec la présence de Jean Douchet, on peut Lui faire confiance sur la qualité cinéma ! j'ai tout d'abord aimé puis adoré ce film, je ne suis pas un cinéfile ni un intello, mais j'ai trouvé beaucoup de finesses ... beaucoup

avec tristesse il faut parfois constater que la sénilité semble entrer (espérons par épisode et effraction) à un certain âge chez d'aucun.... En voici une sérieuse attaque... De film que le titre, de socialisme qu'un mot et du talent de Godard que le souvenir... rien sinon une ou deux formules mais si seules qu'elles en sonnent prétentieuses et surtout creuses.
<br>… Voir plus

De professionnels cinéphiles considèrent ce film comme génial. Le cinéphile lambda, c’est-à-dire le cinéphile occasionnel qui apprécie les œuvres de cinéastes moyens tels Redford, Eastwood, Kubrick et pourquoi pas Polanski, n’est pas armé pour percevoir le génie sortir de ce cafouillage audiovisuel qui ne mérite pas même le nom de film. Les 40 premières minutes font passer la séance de diapositives sur les vacances à Rimini en 66 comme un show des plus excitants. Godard prend son pied à nous montrer des images filmées à l’aide d’appareils photos numériques aux couleurs saturées à la souris d’ordinateur. Pour faire plus sur le vif, il ajoute de faux parasites dans ses séquences et nos professionnels trouvent ça géant. En voulant glisser une remarque à l’oreille de ma voisine, oh regret, je l’ai réveillée !
<br>Dans la deuxième partie, sa station service a un air de déjà vu dans la filmographie des déserts d’Arizona. Un lama attaché à une colonne d’essence apporte quelques visions surréalistes que Bunuel aurait pu filmer il y a... 80 ans, mais lui il avait la décence de placer ça dans des courts métrages.
<br>Par là dessus, Godard nous parle de la Vie, de la Guerre, de l’Univers, de son Nombril et de Tout le Reste, dans un désordre chaotique.
<br>Cinéphile Amateur, si tu as autre chose à faire, même classer tes photos de vacances, fais-le et ne cautionne pas cette “œuvre” en payant 17 francs qui te resteront en travers de la gorge. Les films de Godard sont réputés pour n’avoir jamais eu de succès commercial et son dernier opus nous en fait comprendre la raison: qu’on l’enferme dans une boîte et qu’on l’oublie au plus vite !… Voir plus