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Sex And The Crise
Comment adapter une série ancrée sur la consommation intense d'objets de mode en temps de crise? C'est la question que se pose Sarah Jessica Parker.
Carrie Bradshaw, fière propriétaire d'une centaine de chaussures de luxe et régulièrement vêtue d'exubérantes tenues de marque, n'est pas un personnage attachant en temps de crise. C'est la réflexion de Sarah Jessica Parker, pour qui la suite de «Sex And The City» se doit de prendre en compte la situation économique actuelle.
«Comment bien le faire? Comment le faire d'une manière courageuse? Comment aborder la crise dans une série centrée autour du luxe et des marques? [...] C'est un défi intéressant, et je suis soulagée qu'il ne soit pas de mon ressort mais de celui de Michael Patrick [le scénariste], même si on en parle régulièrement ensemble.»
«Sex And The City 2» devrait également prendre un angle plus léger que le premier volet: «On a pu raconter une histoire mature et sophistiquée avec des coeurs réellement brisés. Cette fois-ci, on veut que nos spectateurs s'éclatent sans trop réfléchir.»