Once Upon a Time... in Hollywood Royaume-Uni, Etats-Unis 2019 – 161min.

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170 Avis des internautes

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Commentaires

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TOSCANE

il y a 4 ans

Film trop long, quelques petits bons moments, mais très surprise et mal à l'aise de voir le film "oser" tourner autour de l'histoire de Sharon Tate. Je suppose que les fans de Tarantino se sont bien amusés. Pas moi.


Eric2017

il y a 4 ans

Que dire sur ce dernier opus de Tarantino, et bien pas grand chose ! Le scénario traine en longueur. Que des petits bouts de scène réunis comme celle de Tate qui va voir son propre film ou celle de Pitt qui va rendre visite à Georges etc...L'ensemble n'amenant à rien. Mais comme c'est du Tarantino je me suis dit qu'à un moment il allait se passer quelque chose. Au bout du compte, soit 2h40 après, le générique arrive et il ne s'est rien passé !!! On voit Pitt et DI Caprio se trainer comme des âmes en peine sans qu'il se passe quelque chose. Heureusement que ces deux acteurs sont là sinon ça serait un flop total. Quant à l'affaire Sharon Tate-Polanski était-il nécessaire d'en parler !! Sinon décors et reconstitutions magnifiques. (F-29.08.19)Voir plus


CineFiliK

il y a 4 ans

“California dreamin’”

Avec le temps, la star d’hier Rick Dalton voit son étoile s’éteindre à petit feu. Sa fidèle doublure, Cliff Booth, tente de le rassurer, alors que dans la maison d’à côté emménage le couple Polanski.

69, année érotique selon Gainsbourg, cinématographique pour Tarantino. Une époque charnière qui, dans cette Amérique schizophrénique, entremêle Vietnam, Woodstock et nouvel Hollywood. Quentin y pose un regard amusé teinté de nostalgie. Il reconstitue, transforme et rend hommage jusqu’à s’autociter aux séries télé, westerns-spaghettis et films d’action qui bercèrent ses illusions enfantines.

Dans cet enchaînement de scènes enjouées, sans qu’une intrigue solide ne les relie, on sourit en entendant Leonardo DiCaprio se qualifier de has been. Son grand frère Brad Pitt le réconforte, disposé à porter jusqu’à la fin ses lourdes valises. Au bout du « conte », lorsque l’ombre de Manson plane sur ce paradis artificiel, l’agent provocateur l’enflamme, préférant, pour préserver son bonheur, la farce au choc émotionnel. Une nouvelle réécriture de l’histoire qui heurtera les puristes, sans pouvoir les convaincre. Même si tout cela n’était qu’un rêve… un rêve californien.

7/10Voir plus

Dernière modification il y a 4 ans


vincenzobino

il y a 4 ans

Le bal du Diable
1969, Hollywood : Rick Dalton est l’actuel acteur à succès enchaînant les rôles de méchants dans des westerns. Il ne se sépare jamais de sa doublure cascadeur Cliff Booth. Pourtant les rapports entre les deux hommes semblent tendus et Cliff pas aussi net qu’il le semblerait. Face à leur propriété vit Sharon Tate, une jeune actrice en devenir et plusieurs hommes. Il y règne également une communauté hippie. Comment ce petit monde peut-il vivre ensemble en communauté?
Le voici donc ce neuvième opus de Tarantino, qui se présentait comme une sorte de bilan de carrière. Un bilan assez prenant.
Le conte de fées apparent sur le prix de la gloire ou sa quête constitue la première moitié du film: la relation entre la star et son double d’une part, la jouissance de la richesse lorsqu’on est épouse de réalisateur d’autre part. Cette première moitié, lente, ne ressemble pas tout à fait à Quentin et l’on se pose quelques questions en pensant à la réalité. C’était sans compter sur le génie créatif qui fait que j’adule ce réalisateur et que chacun de ces opus constitue un événement en soi.
La seconde moitié entraînée malgré elle par Cliff, qui dans le film, va littéralement voler la vedette à Rick par une rencontre explosive, s’avère jubilatoire. Tout d’abord en croyant comprendre le véritable lien de l’actualité réelle. Puis en supposant que, tout comme pour Inglorious Basterds, l’Histoire sera modifiée... et par ces vingt dernières minutes où, âme sensible excepté, l’on prend son pied... et son poing avec un accessoire phare jouant un rôle explosif pour notre plus grand bonheur.
Sur un plan artistique, Leo semble écraser la concurrence mais c’est bien Brad et Kurt qui s’avèrent les véritables stars. Et surtout une qualité décorative et visuelle de très haute facture : le conte de fées de Tarantino n’est pas prêt de se terminer.
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Stan

il y a 4 ans

Pourquoi le film est annoncé en sortie pour le 14 août alors que le cinécran de Cran Montana le projette aujourd’hui le 12 août ?

theomet

il y a 4 ans

Bonjour, la sortie officielle du film Once Upon a Time... in Hollywood est en effet prévue pour le 14 août prochain. Néanmoins, et comme annoncé (ici : http://www.cinecran.com/programme.html) sur le programme du cinécran, cette projection est une avant-première.

Bien à vous

Theo de Cineman.Voir plus

Dernière modification il y a 4 ans

Stan

il y a 4 ans

@theomet merci , je l’ai vu ... mais c’était un Sulpice


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