L’eau ne cesse de baisser dans le lit du ruisseau. Dans le village, le travail se fait rare, les hommes qui ont émigré ont des difficultés à revenir et ceux qui rêvent de partir n’osent plus. Ezequiel, l’ancien du village, se souvient de ce qu’était l’hacienda. Aujourd’hui, ses petits-enfants prennent leur indépendance et il voit les rues désertes et les champs secs. Le vent balaie les rues. Les animaux de ferme ne sont pas loin de mourir de faim et la seule ressource alimentaire restante, ce sont les cactus. [Communiqué de presse]

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