Un fugitif lutte pour sa survie et tente de s’échapper d’une planète sauvage et désertique.

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Blessé, Riddick, un féroce et solitaire hors-la-loi, se réveille mystérieusement sur une planète extrêmement hostile et désertique où il doit très rapidement s’adapter pour survivre, face à de nombreux prédateurs sauvages inconnus. Il comprend qu'il doit trouver au plus vite un moyen de quitter cette prison à ciel ouvert. En signalant sa présence, il attire alors de nombreux chasseurs de primes. Riddick compte bien quitter la planète à bord des vaisseaux de ses poursuivants, sans eux et sans menottes aux mains...

Riddick nous emmène dans le territoire du film de genre. De la SF à petit budget avec tout ce que ça a de kitsch, de méchants lamentables et de dialogues ahurissants: le pied pour les fans! Avec des images de synthèse moyennes mais des designs et une direction artistique extrêmement cool, Riddick fait preuve d'originalité de par son look plus que de par son scénario: un mélange inégal de Seul au monde, Predator et de son propre ancêtre Pitch Black. Vin Diesel offre une performance charismatique grâce à laquelle il porte sur ses épaules la première partie de ce film sombre, musclé, gore et visqueux, mais parfois long et un peu bête aussi, par moments.