Copie conforme France, Iran , Italie 2010 – 106min.

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35 Avis des internautes

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Commentaires

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ElizeH

il y a 10 ans

un film tout en douceur, un jeu d'acteur moyen, mais une poésie de l'image assez plaisante.


kilfenora

il y a 13 ans

Film très moyen. Juliette Binoche ne joue pas très bien


novallee

il y a 13 ans

Ca peut aller!


aegyptis

il y a 13 ans

Le scénario est très tiré par les cheveux et l'on a du mal à s'y retrouver... <br>Copie ou original ? Mouais, ça pousse presque un peu loin.<br>A part ça, le fait que le film soit mi-anglais mi-français est très chouette je trouve. Mais ça, c'est affaire de goût.<br>Côté acteurs, ils sont bons et jouent bien.Voir plus


maigret1

il y a 13 ans

Film magnifique, avec des acteurs éblouissants. J'ai adoré me laisser porter par cette histoire. On est déstabilisés, émus et touchés. C'est un cinéma à contre-courant, et que c'est bon que cette vibration existe encore.


seemleo1

il y a 13 ans

J'ai bien aimé votre critique. Vous devriez la mettre sur le site "sortir.ch". Juste pour rire...
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nash1

il y a 13 ans

«Copie Conforme» est le film type qui permet de démontrer l’énorme fossé qui sépare les Critiques de Cinéma, petits pantins bourgeois, du peuple qu’ils pensent "mal éduqué" et qui ne comprendra de toute façon jamais rien. Alors certes, ce film qui ne doit pas comporter plus de quarante plans sur environ 1h45, est intéressant par rapport à sa technique : son cadrage, sa lumière ainsi que de ses longs plans séquences sont dignes d’intérêt. Mais parallèlement, ces très longs plans techniques font ressurgir toutes les petites erreurs de textes et d'interprétation, les balbutiements, les reprises des mots, les langues qui fourchent. On entre petit-à-petit dans un cinéma « vérité » qui se veut justement brouilleur de vérité, qui veut la double, la triple, voire la quadruple lecture d’une « œuvre d’art ». Peut être anticipant cette critique, l’auteur nous place l’histoire de la bouteille de coca d’Andy Warhol et se permet dès lors toute possibilité dans le scénario : il sait que tant que c’est lui, les « grands » de la critiques y verront que du beau, du grand, du magistral. Mais le fait est que Le Reste n'est qu'une histoire insipide, inutile, on regrette que le cinéma normalement « populaire » devienne un film destiné uniquement à « l'élite » bien pensante de ces critiques de cinéma et des ces intellos qui diront que de toute façon, «vous n'avez rien compris» et que c'est au-dessus de notre niveau. Par ce constat simple, l’"universalité" du film vantée par Jobin et consorts, démontre que ce film est l'inverse de ce que ces bobo-intellos pensent du cinéma. Ce film n'a strictement "rien" d'universel et ne ravira qu'une infime couche des spectateurs, même avertis. Sur ce constat, c'est donc un film en plein échec : impossible d'ouvrir le film à toutes et tous. Il reste que les dialogues, parfois intéressant, sont majoritairement inutiles, que l'Italie doit être vraiment un pays où l’on s'emmerde, et que pire encore, on comprend que l'Iran ne veut pas que l'on fasse du cinéma: il serait ennuyeux que le pays colle à son industrie cinématographique l’épithète accolé à celle de la suisse (cynisme pour l’Italie et l’Iran/la Suisse, évidemment...)
<br>Alors allez-y, et pour vous donner bonne conscience relayez l'info que vous avez « tout » compris. Ce film aura au moins eu le mérite de faire passer les critiques de cinéma de cette presse bobo-chiante en de véritables « experts » intellectuels. De permettre à l’élite de s’auto-congratuler parmi. Mais rien de plus. Dommage, car même si Juliette Binoche est à nouveau belle, elle aspire et étouffe ce pauvre et mièvre pseudo-acteur lui donnant la réplique. Trop belle, trop forte, dans ce film raté et par sa vocation, et par son histoire, elle met au monde des émotions qui à la fin rendent tout le reste inutile, et elle aussi par la même occasion.Voir plus


seemleo1

il y a 13 ans

Juliette Binoche est attendrissante dans son rôle de femme éplorée. Elle porte ce maigre film sur ses épaules d'actrices expérimentée et convaincue de son choix. On ne peut pas en dire autant de William Shimell jouant le rôle du "mari" ténébreux et constipé. Hors Binoche, rien ne facilite la lecture de cette œuvre absconse, au scénario peu crédible et formatée pour les sections parallèles des festivals. Reste une mise en scène intéressante en « temps réel » et des plans très soignés.Voir plus


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